samedi 6 novembre 2010

Borloo pense à la réforme de la fiscalité, pas à Matignon...

JOSEPE


le 04/11/2010 à 09h52

réforme en trompe l'oeil

Dans le droit fil de ce qu'a dit Claudy GIROZ, j'ajouterai qu'en tant qu'investisseur et aussi conseiller à cette époque, nous avons, ma femme et moi été abusés par ces réseaux, bien que censé avoir des certitudes, qui disent tout , garantissent tout, couvrent tout , l'état qui change les règles de la fiscalité en cours de partie , et au final la catastrophe patrimoniale : prix largement surévalués, emplacements tronqués par la dissimulation volontaire ou de l'environnement pénalisant ou des antériorités sur ces emplacements de construction ou du risque inhérent de location lié à des populations " d'assistés",ou sur évaluation des bassins d'emplois, ou incertitudes de location sans remise en cause du loyer, oui, c'est l'acheteur qui se "démène" dans ce tourbillon ... L'état qui prétend refondre la fiscalité ferait bien de balayer devant sa porte avant de faire en sorte que les principes de justice sociale soient appliqués dans ce pays qui n'en a que pour les riches et les privilégiés de toutes sortes... La réforme sur les retraites nous démontre , une fois de plus, que ces dernières ne concernent pas tout le monde, les politiques se gardant bien d'aligner leurs droits sur le système général: Comment peut-on encore faire confiance à ces gens, de quelque bord qu'ils soient! La conscience collective serait t-elle "anesthésiée" au point de ne pas oser "contester" ce qui, pourtant, aggrave encore la situation des plus défavorisés et ils sont les plus nombreux! Il est vrai que l'art de la diversion médiatique fonctionne parfaitement dans nos démocraties ( qui n'en ont que le nom), il est préférable de détourner la masse populaire des problèmes cruciaux , brûlants, qui risquent de mettre en cause la légitimité de nos gouvernants de papier buvard! Leur pouvoir est de façade, le pouvoir réel est entre les mains des argentiers de tous poils et de quelques grands trusts dans le monde entier, la question est jusqu'à quand, jusqu'à quand nous laisserons-nous "matraquer" financièrement,idéologiquement,il me semble que la population ,pour le plus grand nombre, avance sans savoir où elle va, sans objectif, pourvu qu'on leur donne l'accès aux loisirs, aux divertissements, à un certain confort : C'est le signe d'une décadence certaine d'une civilisation. N'oublions pas que la civilisation romaine qui s'étendait de l'atlantique à l'oural et à mis 2000 ans pour atteindre cet état , et seulement 4 siècles pour s'effondrer: L'histoire est peut-être sur le point de se répéter...

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